Pourquoi pas ? C'est une idée qui mérite d'être piochée...
L'ennui, dans ces histoires de voiles dits islamiques, c'est que leurs promoteurs, conséquence directe du khomeïnisme iranien, s'appuient sur des arguments de poids pour défendre leur thèse. Ils estiment non sans raison que les religieuses catholiques ont donné l'exemple qu'il suffit simplement de suivre. Les mères religieuses, les soeurs, les nonnes, etc., se couvrent de pied en cap à telle enseigne qu'on ne voit chez elles ni les cheveux, ni les jambes, ni les bras bien souvent. Mieux, elles ne portent pas non plus de bijoux ni de soutien-gorge ni de string, qui, eux, restent, jusqu'à plus ample informé, pourtant autorisés chez la femme musulmane. Dans un passé encore récent, même les dames un tant soit peu pieuses ne pénétraient jamais dans une église la tête et le cou découverts.
Bien sûr, il ne s'agit pas là de l'affreuse burka qui enfouit totalement le visage et le corps sous un tissu bien épais, mais si l'on ne parle que du voile classique qui libère le visage, la comparaison me semble bien juste.
Mais, au fond, le vrai problème chez les musulmans, c'est qu'ils cultivent un tel complexe d'infériorité qu'ils croient pouvoir surmonter leur énorme retard en se démarquant du reste de l'humanité par des comportement aussi ridicules qu'insolites. Allez comprendre autrement l'Egyptienne ou la Jordanienne portant un voile du genre burka dans un pays comme le Japon, la Chine ou la Suède, où le regard - s'il existe - de l'autre se charge simplement de pitié.
N'oublions pas enfin que le prophète lui-même, qui était porté sur la luxure, avait imposé le voile dans son harem, à seule fin de mettre ses différentes épouses à l'abri de la concupiscence masculine.