Dans la nuit d'hier, un bombardement a touché les bureaux mêmes de Kadhafi. Il en a détruit des murs, une partie du toit et pulvérisé les meubles et autres matériels s'y trouvant.
D'après les déclarations du service d'information libyen qui s'est empressé d'y conduire des journalistes pour en photographier les dégâts, il semble que 3 fonctionnaires y auraient trouvé la mort et que des dizaines d'autres en auraient été blessés, parfois même grièvement, a-t-on souligné.
Sa résidence ayant été détruite auparavant par de nombreux bombardements similaires, il ne reste plus à Kadhafi qu'à aller chercher refuge sous une des guitounes qu'il affectionne tant.
De plus, avec la présence de drones qui vont lui rendre la vie dure dans les prochains jours, il ne pourra plus s'offrir les bains de foule qui le plaçaient à l'abri des tirs d'avions.
Et cette fois, les membres de la coalition semblent résolus à le déloger, où qu'il se trouvera et où qu'il se cachera. "Il faut qu'il s'en aille", ont-ils fermement déclaré, aujourd'hui.