On raconte aussi qu'une femme, élue en 8è place, a été racolée à peu près dans les mêmes conditions. C'est une jeune fille de 23 ou 24 ans, tout juste bachelière et n'exerçant aucune fonction. Rencontrant Louiza dans la rue et lui demandant du travail, elle aurait été inscrite de la même manière sur la liste d'Alger.
Passer à brûle-pourpoint de chômeuse à une privilégiée de cette taille, n'est-ce pas là une des autres prouesses du système algérien, unique au monde ?
Cela donne, enfin, une idée de la représentativité du peuple, dans une opération qui, aux dépens du contribuable, aura coûté malgré tout la bagatelle de 8.50 milliards de dinars.