Deux tiers des 946 milliardaires recensés dans le monde sont partis de rien, et parfois mêmes nés dans la misère, affirme une étude publiée dans Le Figaro. Certains sont mêmes orphelins ou adoptés. Ils s’en sont sortis grâce à leur courage et à leur volonté.
En particulier, 50 d’entre eux n’ont pas achevé leur cycle secondaire ou universitaire. Et le cas le plus connu est bien celui de Billes Gates, qui vient tout juste, 30 ans après l’interruption de ses études, d’obtenir son diplôme de l’Université de Harvard.
Steve Jobs, l’autre gros bonnet de l’informatique, le patron d’Apple, a été adopté, enfant. Il avait d’ailleurs abandonné ses études, faute de moyens pour payer sa scolarité.
Roman Abramovich, le plus riche des Russes, est lui, orphelin.
Li Ka-Shing, un asiate, ayant perdu son père, a quitté l’école à 15 ans pour commencer à travailler en usine.
Kerborian Kirk est sorti de sa classe de quatrième pour s’adonner à la boxe, avant de devenir casse-cou pendant la seconde guerre mondiale, puis patron d’une compagnie aérienne et affairiste à Las Vegas.
Sheldon Adelson, dont le père était chauffeur de taxi à Boston, a commencé sa carrière en vendant des journaux, puis il a exercé le métier de courtier hypothécaire, ensuite celui de conseiller financier, avant de réaliser sa première fortune dans les salons commerciaux.
James Cayne s’est engagé dans le jeu du bridge à New York. Remarqué pour ses talents aux cartes, par Greenberg de Wall Street, il devient agent de change, avant de prendre le contrôle de la Nyse.
La romancière la plus en vue, aujourd’hui, J. K Rowling, élevait sa fille avec le concours de l’aide sociale, quand on est venu, un jour, lui annoncer que Bloomsbury se proposait d’éditer son livre racontant l’histoire d’un magicien nommé Harry Potter.
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