Nordine Mansouri, 48 ans, déjà détenu dans une affaire de racket, vient d'être confondu pour un crime qu'il a commis il y a seize ans.
Grâce à l'ADN laissé sur un mégot récupéré sur la scène du crime, ce Nord-Africain, sans doute, a été accusé du meurtre d'un couple perpétré, fin novembre 1992, avec quatre complices lors d'un cambriolage à Saint-Quentin (Aisne).
N'ayant rien trouvé à voler, les malfaiteurs auraient violenté le couple, après l'avoir ligoté. L'homme, 67 ans, a par suite succombé à ses blessures, indique une dépêche de l'AFP.
Si ses complices courent toujours, faute par les policiers de les avoir identifiés, Mansouri, lui, n'est pas prêt de retrouver sa liberté. Malfaiteur récidiviste, de surcroît, il devra écoper d'une peine maximum bien méritée.