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 Algérie, les achats immobiliers suspects d’Amar Saadani

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Aharbal

Aharbal


Nombre de messages : 334
Date d'inscription : 27/05/2007

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MessageSujet: Algérie, les achats immobiliers suspects d’Amar Saadani    Algérie, les achats immobiliers suspects d’Amar Saadani  EmptyMar 6 Mai - 19:48

bakchich - Par La rédaction de "Mondafrique" - 1er Mai, 2014

Amar Saadani, le secrétaire général du FLN, affirme ne jamais avoir possédé d’appartements à Paris. Les documents que nous publions montrent que ce proche de Bouteflika est au moins propriétaire d’un appartement à Neuilly sur Seine, la banlieue chic de Paris.

Après la publication de l'article dans "Mondafrique" qui faisait mention des deux appartements acquis en France par Amar Saadani patron du FLN, le site « www.algériepatriotique », animé par des proches du général Nezzar, ancien ministre de la Défense et un des hommes forts du système algérien, donnait les adresses de certains de ces confortables pieds à terre. Une grande partie de la presse algérienne, « El Watan » notamment, sous la plume d’une journaliste d’investigation spécialisée dans les dossiers sensibles, reprenait l’ensemble de ces informations.

À l'ombre de "l'Olivier"

Or nous avons retrouvé les statuts et la domiciliation de la Société Civile Immobilière (SCI), « l’Olivier », qui possède (?) effectivement l’appartement situé à Neuilly pour le compte d'Amar Saadani, de sa femme Naima et de ses sept enfants. Créée en juillet 2009, cette SCI possède, entre autres, « des biens immobiliers dépendant d’un immeuble situé à Neuilly-sur-Seine situé entre le 9 et le 15 boulevard Victor Hugo… ». L’appartement comprend quatre pièces principales, plus une entrée, une cuisine, un parking et des caves. La gérante de la SCI n’est autre qu’une des six filles d’Amar Saadani, Kenza, domiciliée à Londres dans un quartier résidentiel, où elle poursuit des études.

Une discrète boite aux lettres

D’après les statuts signés par l’ensemble de la famille, la SCI « l’Olivier » est domiciliée, via « une convention d’occupation », au 48, rue de la Bienfaisance à Paris au nom d’une obscure société, « Agir ». D’après les services du cadastre de la ville de Paris que nous avons consultés, cette adresse existe bien sur le papier. Sauf que les responsables de la société « Agir » sont juste impossibles à joindre, alors que nous voulions nous enquérir sur la possible acquisition d'autres biens immobiliers.

Le numéro inscrit sur l’annuaire (015659…) au nom de la société Agir située 48, rue de la Bienfaisance renvoie à une association d’aide aux détenus « Agir, Aider, Accompagner, section volontariat ». Lorsque nous appelons ce numéro, nous entrons en relation… avec une caisse de retraite complémentaire qui a déménagé de la rue Bienfaisance l’année dernière.

Vivre heureux, vivre caché

Sans se décourager, nous avons cherché dans des banques de données les coordonnées les références de la société "Agir". Nouveau mystère, nous avons trouvé une nouvelle entité AGIR (« Assistance aux groupes pour l’investissement et la réalisation »), localisée comme l'association d'aide aux détenus au 48 rue de la Bienfaisance. Les deux dirigeants supposés de cette entité seraient, apprend-on, à la tête de plusieurs sociétés : le groupe Wilmar, la société civile des eaux d’Auvergne... Seul problème, personne ne répond à ces adresses au nom de la société « Agir », apparemment une coquille vide. Le mystère s’épaissit !

Enfin, après nous être rendus sur place, toujours au 48, rue de la Bienfaisance, une plaque indique à l’entrée l’existence de la société « Agir » située au rez de chaussée. Sur une porte vitrée, un morceau de papier a été collé : « En cas d’absence, déposez le courrier chez le gardien de l’immeuble ». Autant de dédales qui démontrent clairement qu'Amar Saadani préfère vivre caché lorsqu'il se rend à Paris.

D’autres pistes existent que nous sommes en train d’explorer. Ainsi un « Ahmed » Saadani, dont nous ignorons les liens avec le patron du FLN, loge, d’après le cadastre, à l’adresse indiquée à Puteaux par le site 'algériepatriotique'. D’autres témoignages nous confirment l’existence d’un autre appartement avenue de la Grande Armée, à deux pas de la Défense, qui appartiendrait aussi au patron du FLN.

En tout cas, sur la carte de résident de dix ans qu’Amar Saadani a obtenue en 2012, figure bel et bien l’adresse suivante : « SCI l’Olivier, 13-15 Boulevard Victor Hugo ». Comment le patron du FLN peut-il nier, via son avocat, qu’il possède des biens immobiliers en France?

(http://mondafrique.com/lire/bakchich/2014/05/01/algerie-les-achats-immobiliers-du-patron-du-fln)
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Jean-Marc

Jean-Marc


Nombre de messages : 301
Date d'inscription : 13/07/2007

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MessageSujet: Re: Algérie, les achats immobiliers suspects d’Amar Saadani    Algérie, les achats immobiliers suspects d’Amar Saadani  EmptyLun 19 Mai - 11:32

Algérie, « Mondafrique » répond au patron du FLN, Amar Saadani

bakchich - 01 Mai, 2014
par La rédaction de "Mondafrique" -

Mis en cause dans un papier paru le 15 avril sur notre site « Mondafrique », « les appartements parisiens suspects du secrétaire général du FLN », Amar Saadani, a exigé, via son cabinet d’avocats parisien, que nous retirions notre papier et que nous présentions des excuses. Ce que, le lundi 21 avril, nous avons refusé de faire. Dans une série de quatre papiers, nous revenons sur ce dossier.

Algérie, les achats immobiliers suspects d’Amar Saadani  Saaadani_3Le vendredi 18 avril, lendemain de l’élection du président algérien Bouteflika pour un quatrième mandat, le secrétaire général du FLN, Amar Saadani nous adressait une lettre recommandée, envoyée par son avocat Jean Yves Dupeux, pour que nous retirions dans les cinq jours le papier que nous avions publié sur "les appartements parisiens suspects du secrétaire général du FLN".  Il s’agirait « de graves accusations diffamatoires » qui auraient relayé, sans preuves, « des accusations calomnieuses ».

Droit de réponse

Nous avons répondu, via notre avocat, que nous étions prêts à publier un droit de réponse d’Amar Saadani. Cette offre de notre part a été refusée par le patron du FLN. Nous devions afficher « nos regrets » d’avoir publié l’article qui ne reposerait que sur « des informations erronées », sans l’ombre soi disant d’une enquête. Ce que nous avons refusé, dans la mesure où nous disposions de documents et de témoignages crédibles tant à Paris qu’à Alger. Comment admettre qu’Amar Saadani n’a jamais été suspecté de corruption en Algérie, qu’il ne dispose d’aucun avoir bancaire à Paris et qu’il n’a acquis aucun appartement en France ? Seul le montant exact des avoirs bancaires qui ont transité sur ses comptes étrangers peut faire l’objet de réserves, dans la mesure où le chiffre que nous avançons repose sur des témoignages crédibles, mais non sur des preuves matérielles.

Nos informations ont été largement reprises par la presse algérienne qui a apporté de nouvelles précisions, notamment sur la localisation à Paris et à Neuilly des appartements de monsieur Saadani. Ce dernier n’a voulu voir dans ces révélations qu’une campagne malveillante, menée par « une cinquième colonne » animée par les services algériens (ou DRS), qu’il avait largement mis en cause, sans preuves, durant la campagne  présidentielle. « Je suis attaqué, a-t-il déclaré, parce que j’ose défier le DRS ».

Complicités françaises

L’explication  est un peu courte. Le DRS qui a constitué une formidable banque de données sur les principaux dirigeants algériens n’a jamais fait de la lutte contre la corruption un objectif  prioritaire. À travers la double vie d’Amar Saadani entre Paris et Alger, la question posée est celle des frasques financières d’une partie des élites algériennes. Elles ne datent pas d’aujourd’hui. Mais ces dérives ont été considérablement amplifiées depuis 1999, date depuis laquelle Abdelaziz Bouteflika dirige l’Algérie. Une dérégulation totale des commissions occultes et une frénésie d’accaparement des richesses ont gangrené la présidence algérienne. Amar Saadani est loin d’être le seul à être concerné par ces dérives. Mais ce dignitaire est emblématique d’un système.

Côté jardin, le patron du FLN, un des principaux personnages de l’État, tient un discours patriotique, qui trouve encore un écho certain auprès d’une opinion algérienne profondément nationaliste. Coté cour, Amar Saadani achète des appartements à Paris, se fait attribuer une carte de résidence en France et transfère des avoirs bancaires en Europe où vit une grande partie de sa famille.

Dans les jours qui viennent, nous allons revenir, grâce aux témoignages et aux documents dont nous disposons, sur les dossiers d’Amar Saadani à travers quatre papiers à paraître à partir de demain vendredi:

1) Les frasques immobilières du patron du FLN;
2) L’étrange inscription au fichier des étrangers;
3) L’origine trouble de ses avoirs bancaires;
4) Les complicités françaises.

(http://mondafrique.com/lire/bakchich/2014/05/01/algerie-mondafrique-repond-au-patron-du-fln-amar-saadani)
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Mahmoud

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Date d'inscription : 08/06/2007

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MessageSujet: Algérie, les modestes économies d’Amar Saadani   Algérie, les achats immobiliers suspects d’Amar Saadani  EmptyLun 19 Mai - 11:51

bakchich - 06 Mai, 2014
par Nicolas Beau

Dans le courrier que nous a adressé son avocat Jean-Yves Dupeux, Amar Saadani niait qu’il possédait au moins un appartement en France et prétendait ne pas détenir le moindre pécule dans une banque française.

Algérie, les achats immobiliers suspects d’Amar Saadani  BoutefComment le patron du FLN peut-il contester possèder quelques fonds bancaires à Paris ? Par quel miracle aurait-il, sans compte en banque, acheté au moins un appartement à Neuilly sur Seine, financé les études de ses enfants en France et en Angleterre et réglé les frais d’un grand cabinet d’avocat parisien? Si pour régler de telles dépenses, Amar Saadani ne possède effectivement pas de compte bancaire en France, cela signifierait qu’il utilise des valises de billets. Ce que nous ne pouvons imaginer.

Paris, village algérien

Certes, Amar Saadani est loin d’être le seul dignitaire algérien à posséder des biens immobiliers en France. Ainsi le ministre de l’industrie et des mines du tout nouveau gouvernement de Bouteflika, Abdesslam Bouchouareb, possède un superbe appartement au cœur de Paris, quai Montebello, face à la Seine et à Notre Dame. Le mardi 6 mai, les services du cadastre de la ville de Paris ont confirmé à « Mondafrique » qu’Abdesslam Bouchouareb possédait un tel bien. Il faudra qu’il explique dans quelles conditions il a pu s’en rendre propriétaire.

Autre exemple de cette boulimie immobilière, l’ancien ministre gouverneur d’Alger et ex ministre des PME, Chérif Rahmani, possède trois pieds à terre dans les quartiers chics de Paris, d’après une enquête qui avait été menée par le Canard Enchainé, sans être démentie. Détail cocasse, ce technocrate brillant était présenté  dans un article de Bernard Henri Lévy paru dans le Monde en 1998 comme « un quadra » novateur fâché avec « les caciques du FLN ». Apparemment, il partage avec ces mêmes caciques, dont Amar Saadani, un certain goût pour l’immobilier parisien.

Nicolas Sarkozy dans la boucle

On se souvient aussi comment en 2006, le concessionnaire des grandes marques de voitures de luxe en Algérie, Mourad Oulmi, avait acheté l’appartement de Nicolas Sarkozy, situé ile de la Jatte. Monsieur Oulmi est dans les petits papiers du régime de Bouteflika. Pour preuve, les démêlés judiciaires qu’il avait eus avec son prédécesseur, Ahmed Mouffok, se sont bien terminés : Mouffok croupit en prison, et lui vend 15000 véhicules de prestige (Audi, Volkswagen) chaque année, dont une bonne part au gouvernement et à la gendarmerie. Une partie de ces profits apparemment est recyclée sur les bords de la Seine.

Toujours à Neuilly, Mourad Oulmi a créé en 2012 la société Expimo, spécialisée dans l’achat, la décoration et l’aménagement de biens immobiliers. Cette agence se trouve rue Louis Philippe, à trois cents mètres de l’appartement d’Amar Saadani. Les deux hommes se connaissent… Certains à Alger prétendent même que « Mourad Oulmi a vendu son appartement à Saadani ». À suivre… Le monde est petit.

La transaction pour l’achat de l’appartement de Nicolas Sarkozy a été négociée par le Crédit Agricole Genève. Il existe quelques facilités dans les transferts de l’argent algérien entre la Suisse et la France.

Vous avez dit 300 millions!

Pour autant, Amar Saadani a-t-il transféré de l’Algérie vers la France trois cents millions d’euros? Dans le papier contesté par le patron du FLN, nous avions en effet cité ce chiffre, indiqué par des sources à Alger dignes de foi.

Nous ne pouvons pas fournir la preuve bancaire de l’existence de tels montants. Un journaliste n’est ni un magistrat, ni un policier. Il n’a pas les moyens, dans les affaires financières, de produire des extraits de compte bancaire, à moins qu’ils soient versés dans un dossier judiciaire auquel il a accès. En revanche, un ensemble d’éclairages nous ont permis de juger ces confidences plausibles.

1) Amar Saadani a été mis en cause dans le scandale de la Générale des Concessions Agricoles (GCA), où on estime que des centaines de millions de dollars ont été détournés. Comment peut-il, là encore, nier qu’il est présumé coupable par une grande partie de la presse et de l’opinion ? Le premier novembre 2009, le journal El Watan, réputé pour son sérieux, écrivait: « Les déballages ont pris pour cibles de gros poissons. Des personnalités de haut rang, assumant des charges au sein de l’État et surtout ayant des liens étroits avec Bouteflika. Saïdani est en effet l’ex-président de l’APN (3e homme de l’État), membre de la commission exécutive du FLN, et ex-président des bruyants comités de soutien de Bouteflika ».

Après enquête, poursuit El Watan, « les résultats ont révélé que le trou creusé dans les deniers publics (…) s’élève à environ 30 milliards de dinars (3000 milliards de centimes), soit l’équivalent de 300 millions d’euros.»

2) De tels chiffres de détournements n’ont, hélas, plus rien d’inhabituel dans l’Algérie de Bouteflika. Une véritable dérégulation de la corruption s’est produite, ces dernières années.

Lors du scandale de la Sonatrach qui a éclaté voici quatre ans, les chiffres de commissions indues, cités par les experts financiers du FBI américain pour les seuls contrats passés avec l’oncle Sam, approchent les deux milliards de dollars. Dans un autre dossier gangrené par la corruption, celui de l’autoroute Est-Ouest, le devis initial a explosé de trois à quinze milliards de dollars en raison notamment des détournements opérés.

3) Enfin la carte de résident demandée par Amar Saadani en 2011 aux autorités françaises peut être considérée, à elle seule, comme un aveu de culpabilité. En quoi un ancien patron de l’Assemblée, qui deviendra secrétaire général du FLN, a-t-il besoin d’un tel document ?

À moins qu’il ne veuille disposer d’une base arrière juridiquement sûre, si son clan perdait l’avantage et que la justice algérienne le poursuivait dans le dossier de la Générale des Concessions Agricoles...

(http://mondafrique.com/lire/bakchich/2014/05/06/algerie-les-modestes-economies-damar-saadani-3)
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Ouahiba

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Date d'inscription : 14/05/2007

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MessageSujet: Re: Algérie, les achats immobiliers suspects d’Amar Saadani    Algérie, les achats immobiliers suspects d’Amar Saadani  EmptyLun 19 Mai - 12:16

Mondafrique, bras armé du DRS !

Mondafrique - 09 Mai, 2014

Le patron du FLN, Amar Saadani, a accusé Mondafrique d'être le bras armé du DRS (services algériens), lorsque le site a publié des articles sur ses biens immobiliers à Paris. Or jamais le DRS, hélas, n'a cherché à divulguer de telles informations. Et pour la bonne et simple raison que beaucoup de hauts gradés des services algériens, ou du moins leurs familles, possèdent eux aussi de coquets appartements à Paris...

Les proches du président Bouteflika sont loin d'être les seuls à posséder des appartements à Paris. Mondafrique a ainsi découvert, grâce à un de ses lecteurs bien informés, que l'épouse et la fille de feu le général major Smain Lamari possédaient également une Société Civile Immobilière (SCI) du nom de "Sabri". Créée en 2005, soit deux ans avant le décès du numéro deux du DRS, cette SCI est propriétaire d'un appartement situé dans le très chic seizième arrondissement, vendu pour près d'un million d'euros.

Ce haut gradé fut, jusqu'à disparition en 2007,  le patron de la puissante Direction du contre espionnage, dont le rôle fut déterminant dans l'éradication du terrorisme. C'est lui qui, notamment, mena les négociations avec l'Armée Islamqiue de Salut (AIS) pour permettre, à la fin des années 90, de mettre fin à la quasi guerre civile qui ensanglanta l'Algérie.

Le vent en poupe

Apparemment cet achat n'a pas mis Amal et Fatma Lamari sur la paille. Lors d'une assemblée générale en 2011, leur société Sabri a augmenté son capital de la somme de 99 000 euros. Une preuve, s'il en était besoin, que la SCI, dont l'objet est "la prise de participations dans toutes les sociétés civiles et commerciales" et "l'acquisition ou la construction de tous immeubles", a encore quelques beaux projets à son actif.

Quand le bâtiment va, dit-on souvent, tout va. Du moins pour ceux qui ont un petit pécule à placer dans la pierre, et à Paris...

(http://mondafrique.com/lire/decryptages/2014/05/09/mondafrique-bras-arme-du-drs)
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