Un enfant de 3 ans se rappelle de sa vie antérieure, identifie son assassin et trouve son corps

Nouvelordremondial.cc - 17.05.2014

Un petit garçon de 3 ans dans la région du plateau du Golan, près de la frontière entre la Syrie et Israël, dit avoir été assassiné avec une hache dans sa vie antérieure. Il a montré aux doyens du village (l'endroit) où l’assassin avait enterré le corps, et, aussi incroyable que cela puisse paraitre, ceux-ci ont trouvé le squelette d’un homme dans la cache. Il a aussi indiqué aux doyens où l’arme pouvait être retrouvée, et, de même que pour le squelette, l'on a aussi bel et bien retrouvé la hache.

Sans son livre, “Children Who Have Lived Before: Reincarnation Today” [Les enfants qui ont vécu auparavant: Aujourd'hui la Réincarnation, ndlr], le thérapeute allemand Trutz Hardo raconte l’histoire de ce garçon, parmi plein d’autres histoires d’enfants qui semblent se rappeler de leur vie précédente avec une grande précision avérée. L’histoire du garçon a été entendue par le Dr. Eli Lasch, qui est très célèbre pour avoir développé les systèmes médicaux de Gaza conjointement avec le gouvernement d’Israël dans les années 1960. (Le) Dr. Lasch, qui est mort en 2009, avait parlé de ces évènements fascinants à Hardo.

Le garçon appartenait au groupe ethnique des Druzes, et, dans sa culture, l’existence de la réincarnation est acceptée en tant que fait. Son histoire a néanmoins eu le pouvoir de surprendre sa communauté.

Il est né avec une longue marque de naissance rouge sur la tête. Les Druzes, ainsi que d’autres cultures, interprètent les marques de naissance comme ayant un lien avec la mort dans la vie passée. Quand le garçon (s'est trouvé suffisamment mûr) pour parler, il a raconté à sa famille comment il avait été tué d’un coup de hache sur la tête.

Il est de coutume pour les aînés d’emmener un enfant âgé de 3 ans à la maison de sa vie antérieure pour voir s’il s’en souvient. Le garçon connaissait le village d’où il venait, donc ils sont allés là-bas. Quand ils sont arrivés dans le village, le garçon se rappela alors le nom qu’il avait (porté auparavant).

Un village local a dit que l’homme, dont le garçon revendique la réincarnation, a effectivement disparu depuis 4 ans. Ses amis et sa famille pensèrent qu’il s’était égaré dans un territoire hostile à proximité, comme cela survient parfois.

Le garçon se rappela aussi du nom complet de son assassin. Confronté ensuite à lui, cet homme est devenu blanc pâle, a dit Lasch à Hardo, mais il n’a pas avoué son crime. Le garçon a ensuite indiqué aux anciens le lieu précis où le corps était enterré. Et là, le squelette de la victime a été découvert, avec une blessure à la tête correspondant à la marque de naissance du garçon. Ils ont aussi trouvé la hache, l’arme utilisée à cette fin.

Face aux preuves, l’assassin a fini par admettre son forfait. Le Dr. Lasch, l’unique non-Druze présent sur les lieux, a assisté, médusé, de bout en bout à cette révélation.

(http://www.nouvelordremondial.cc/2014/05/20/un-enfant-de-3-ans-se-rappelle-de-sa-vie-anterieure-identifie-son-assassin-et-trouve-son-corps/)

Je viens de poster à l'instant le petit commentaire suivant dans le site qui a publié cette soi-disant information. En voici les termes :

Il faut être un adepte absolument convaincu de la religion chrétienne, l’islam réfutant formellement l'esprit de la réincarnation, pour prêter un tant soi peu l’oreille à semblable incongruité. « Les miracles ne se produisent que pour ceux qui y croient », prévient Bernard Bérenson. Pour sa part, Roger MARTIN du GARD se montre encore beaucoup plus catégorique puisqu’il écrit : « La foi n’a jamais accompli de miracles, qu’en apparence. » Renan, dans « la vie de Jésus » reste carrément hostile à l’existence de miracles. Écoutons-le : « Une observation qui n’a pas été une seule fois démentie nous apprend qu’il n’arrive de miracles que dans les temps et les pays où l’on y croit, devant les personnes disposées à y croire. Aucun miracle ne s’est produit devant une réunion d’hommes capables de constater le caractère miraculeux d’un fait… Ce n’est donc pas au nom de telle ou telle philosophie, c’est au nom d’une constante expérience que nous bannissons le miracle de l’histoire. Nous ne disons pas « Le miracle est impossible » ; nous disons : "Il n’y a pas eu jusqu’ici de miracle constaté."